Une conviction identique depuis plus de 40 ans

 

Jean Luc BLANDIN, fondateur de La Chaiseronne:

Fils de boucher traditionnel, après une formation de technicien agricole et de gestionnaire, j’ai découvert la filière viande de 1975 à 1980 au sein d’une coopérative agricole, assumant successivement différentes responsabilités tant au niveau unité d’abattage, qu’achat vif, commercialisation, puis production. En 1975, j’ai eu la chance de participer à la création de la première marque de viande mise sur le marché : « l’Herbageur » avec des animations commerciales effectuées par les producteurs sur les points de vente parisiens.

Naissance de la Chaiseronne :

En 1980, je décide de reprendre la petite boucherie familiale, implantée à La Chaise Baudouin (400 habitants), dans le sud Manche, avec l’idée de développer une démarche originale :

  • Raccourcir le circuit qui va de l’éleveur au consommateur,
  • Garantir à mes clients un niveau optimum de qualité, au plus juste prix.

C’est la naissance de « La Chaiseronne ». Et cette idée devient, non seulement la conviction d’un homme et d’une équipe, mais surtout le moteur d’une stratégie d’entreprise.

 

 

Naissance des « Marmites et Terrines d’Augustine » :

En 2004/2005, suite à la reconstruction de l’entreprise détruite en 2003 lors d’un incendie, je prends la décision que cet accident devienne un tremplin pour mieux rebondir et décide de créer une gamme de plats cuisinés et terrines appertisés en bocaux. Par nostalgie du bien manger et parce que les recettes familiales sont autant de mémoires gourmandes et d’amour vrai, je me tourne tout naturellement vers le livre de recettes de ma grand-mère Augustine afin d’élaborer cette nouvelle gamme (blanquette de veau, bœuf normand aux carottes et pruneaux, pot au feu normand…). Comme un hommage, je la lui dédie en lui donnant son nom : « Les Marmites et Terrines d’Augustine », « des recettes telles que les faisaient notre grand-mère ».

 

 

La volonté de l’entreprise depuis sa création est un développement raisonnable et raisonné d’un produit de qualité dans le respect :

  • de l’homme qui le produit (l’agriculteur)
  • de l’homme qui le transforme (nos bouchers, charcutiers, cuisiniers)
  • de l’homme qui le consomme (nos consommateurs)

et que chacun retrouve la juste récompense de ses efforts dans le cadre d’un plan de progrès environnemental.